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" Il m'importe peu que tu adoptes mes idées ou que tu les rejettes pourvu qu'elles emploient toute ton attention." Diderot

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Analyses

PU # 3089 / Powell, de nouveau conciliant
Comme attendu, la Réserve fédérale américaine a donc laissé en l’état son dispositif monétaire. C’est toutefois la conférence de presse du Président de l’institution qui constituait le véritable rendez-vous de cette semaine. Or Jerome Powell s’est montré, une fois encore, très complaisant.    Les marchés ont apprécié (le Nasdaq 100 s’est même offert un nouveau record à 18 464 pts), mais nombre de stratèges y ont vu une nouvelle (lire la suite)
PU # 3088 / Des statistiques peu commentées
Les marchés ont été confrontés cette semaine à un certain nombre de vents contraires dont les effets ont toutefois été peu significatifs, la plupart des indices continuant d’évoluer sur de nouveaux sommets. La technologie était toutefois un peu moins entourée au bénéfice de compartiments jugés en retard (pétrole, mines, pharmacie...).   Aux Etats-Unis, le CPI a confirmé le (lire la suite)
PU # 3087 / Wall Street marque une pause
Cette semaine, le S&P500 a inscrit un nouveau record, tout en affichant une variation hebdomadaire négative. La faute à Nvidia, dont le cours s’est brutalement retourné lors de la séance du vendredi 8 mars. Après une ouverture en hausse de +5%, l’action terminait en effet la séance à -5%, entraînant avec elle tous les dossiers les plus "spéculatifs" du moment. A Paris, le CAC40 a pour sa part réussi à (lire la suite)
PU # 3086 / Une dégradation des données macro
Les principaux indices boursiers sont restés en "apesanteur" sur leurs récents plus hauts. Aux Etats-Unis, des titres comme Apple, Alphabet ou Tesla ont toutefois reculé. Ainsi, parmi les "7 Magnifiques", seul Nvidia a continué de soutenir la cote, devenant du même coup la 3ème capitalisation mondiale.   Au cours de la semaine, le sentiment macroéconomique s’est dégradé à (lire la suite)
PU # 3085 / L'IA porte les indices sur des niveaux records
Au cours de la semaine, les principaux indices boursiers ont inscrit de nouveaux plus hauts. En l’absence de publications macroéconomiques majeures, les investisseurs se sont concentrés sur les résultats trimestriels et annuels des entreprises. À cet égard, le grand oral de Nvidia était particulièrement attendu. Les chiffres et la communication (lire la suite)
PU # 3084 / L'inflation refait parler d'elle
Déception pour les investisseurs qui ont été presque contraints de modifier leur scénario concernant les Etats-Unis (inflation en recul permettant une baisse rapide des taux d’intérêt, croissance résiliante de l’activité). Alors que l’inflation était une fois encore attendue en baisse, elle a finalement rebondi.   L’Indice des prix à la consommation (CPI), pour sa composante considérée hors alimentation et énergie, a finalement progressé de +3,9% (lire la suite)
PU # 3083 / Le S&P500 franchit les 5 000 pts
Les optimistes ont été cette semaine encore à la manœuvre. Et si nombre d’analystes et de stratèges s’inquiètent chaque jour un peu plus de ce systématisme "haussier", ils ne parviennent toujours pas à convaincre. Ainsi, de la même manière que depuis presque quatre mois, les indices américains ont poursuivi leur ascension, portés par une poignée de valeurs vues comme insubmersibles. L’indice large (lire la suite)
PU # 3082 / Le marché oublie les taux
Au cours de la semaine, la probabilité d’une baisse des taux directeurs de la Fed en mars, ou même en mai, s’est éloignée. A l’occasion de sa réunion de politique monétaire, l’institution a en effet indiqué chercher à avoir "davantage confiance" dans la baisse durable de l’inflation avant d’envisager un assouplissement monétaire.   Les chiffres économiques de la semaine sont venus faire écho à (lire la suite)
PU # 3081 / Encore de nouveaux records
Les investisseurs estiment que la Fed va baisser ses taux en avril, voire en mai, et non plus en mars, ce qui est considéré comme un simple ajustement. Les anticipations restent donc identiques : le loyer de l’argent va baisser, l’économie américaine rester robuste comme en atteste la hausse du PIB de +3,3% sur le 4ème trimestre et l’inflation s’assagir. Ce qui validerait l’écrasement de la volatilité et la hausse (lire la suite)
Spécial Stratégie 2024
Et si la véritable bascule dans un "monde nouveau" se faisait finalement en 2024 ? Après plus d’une décennie marquée par des taux d’intérêt nuls, voire négatifs, 2023 aurait logiquement pu prétendre au titre d’année de rupture. Elle a en effet été marquée par un resserrement monétaire inédit et un retour des taux réels en territoire positif. Sauf que les investisseurs n’ont voulu y voir qu’une parenthèse, un phénomène transitoire (lire la suite)