Sommaire PU 3051 (7/6/2023)

Le point hebdomadaire sur les marchés

Wall Street se distingue

Comme attendu et espéré, le Congrès des Etats-Unis a accepté de suspendre le plafond de la dette américaine jusqu’en 2025, au-delà donc de la prochaine élection présidentielle (novembre 2024). En contrepartie de ce sursis, les Républicains ont obtenu un gel des dépenses fédérales en 2024, hors secteur de la défense. L’année suivante, elles n’augmenteront que de +1%. Il convient toutefois de souligner qu’il s’agit d’une évolution hors inflation. Bref, le tintamarre récent se solde par un accord sans grand relief. Dans cet environnement, Wall Street, toujours soutenu par la technologie, progressait à rebours du Vieux Continent. Sur le front macroéconomique...

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Nos opérations réalisées cette semaine

Achat/renforcement d'une Favorite

A l'affiche

Lucid Group (USA) / Les télécoms / Transgène

Etudes de valeurs

Linde (ALL) / Dassault Systèmes / IFF (USA)

Etude

Où en sont la Chine et l'Inde ?

Le marché boursier chinois ne fait guère d’étincelles depuis plusieurs mois. A l’inverse de son homologue indien. Le premier s’avère plutôt bon marché, tandis que le second est sur des niveaux de valorisation élevés. [...] Lire la suite ici

Le Cahier des Favorites

Les nouvelles des Favorites / 1 page

Le tableau des Favorites / Les recommandations / Nos dernières opérations / 2 pages

La Fiche Favorite / 1 page

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Les Opportunités

Nos valeurs spéculatives, réservées aux investisseurs les plus offensifs

Questions/Réponses

Marché de l'Intelligence artificielle (IA) : comment y investir ?

Rachats de titres par les dirigeants des groupes de luxe : une explication ?

Peut-on s'intéresser au marché indien ?

Bloc-notes

Pétrole : l'Arabie Saoudite ne peut pas accepter une baisse des prix

Non-coté européen : les prix reculent

Des riches... moins riches

Par dessus le marché

Un énième répit pour la France

Ne voyez pas, dans l’utilisation de l’adjectif de ce titre, l’expression d’une quelconque déception de notre part. Car bien évidemment, nous ne pouvons qu’être soulagés de la décision de Standard & Poor’s. L’agence de notation a en effet et finalement confirmé la note AA de la France. Une nouvelle relégation de l’Hexagone a donc été évitée. Mais, et c’est là une évidence, le couperet n’est pas tombé bien loin. Plusieurs économistes ont d’ailleurs estimé que c’est le maintien de la réforme des retraites, pourtant largement décriée sur le fond et/ou la forme, qui a convaincu Standard & Poor’s. L’exécutif a clairement fait ici le choix de l’impopularité afin d’éviter un nouveau déclassement de la note de la France. Déclassement dont les conséquences auraient [...] Lire la suite ici

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